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11 avril 2008

Poems

Debout

Ne croise pas les doigts, jeune fou
Fusillé du regard, la vision tranchante.
Calme tes ardeurs, un jour où
Sentences, Flammes et Oiseaux chantent.

Ta vie, comme un cercueil de bois,
Retentit des envolées plaintives
du résidu fantomatique en toi
qui crie, gueule et vomit pour que tu vives.

Menace le rythme de cette lente et désordonnée
descente aux plaisirs faciles, malsain bout d’homme.
Défauts qui élèvent leurs voix grâce à la mort, et
Explosant aux confins de l’univers, pleurent l’homme.

Triste sort pour cet espoir canonisé, regret puissant.
Mais n’oublie pas, vieux débris, comment brûlent
les corps humains, la douleur de leur chair d’enfant
qui, au fil du temps vivant, se liquéfie et disparaît, nulle.

Tu vas perdre ton temps.

Onicosmo, 11/04/08.

Bonne lecture!


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Commentaires
O
Lol, j'espérais que tu le catches^^<br /> C'était un bon sujet de poème, merci d'avoir lu vieu ;).
K
"Défauts qui élèvent leurs voix grâce à la mort"<br /> <br /> hehe petit filou.<br /> <br /> j'ai tout compris, ou presque, je devrai relire mais bon comme tout poème pour ainsi dire le plaisir se trouve ainsi grandit.
Silencio
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