12 avril 2008
Poems - 2
Celui-ci est en correspondance avec mon précédent, voilà les choses complètes. Bonne lecture.
Sommeil profond
Frappe, sans plus attendre, loin.
Digère l’agression, dormir.
Le sommeil cogne toujours moins
Et tu attends d’être nourri.
La nourriture célèste qui,
Sans amour, gave l’endormi
Tourmentant ses peines futiles
Les noyant dans l’éther Nihil.
Cette société qui brille
Oublie si vite son rôle
Qu’elle, folle, vacille
Au rythme des quadri-pôles.
Mais, l’âme faible de cette
Vengeresse s’évanouit.
Car, Âme debout, nous, ascètes
Crions la fin de cette vie.
[Onicosmo]
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